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samedi 26 septembre 2015

JE ME SENS BIEN DANS MA SEXUALITE

FAIRE L'AMOUR AUTREMENT


Après avoir lu et relu et relu encore et encore 

le livre de Barry Long " Faire L'Amour de manière Divine",
J'ai décidé de vous partager quelques extraits de ce livre.
Attention ça peut vous secouer !




"Le malheur fondamental de la femme, son mécontentement perpétuel, vient de ce que l’homme ne peut plus l’atteindre physiquement. 
Ses excès émotionnels, ses accès de dépression, ses frustrations accompagnées de crises de larmes, 

même sa tension prémenstruelle et les conditions qui la conduisent à l’hystérectomie et à d’autres problèmes utérins, sont dus à l’incapacité de l’homme de collecter ou de libérer ses énergies féminines fondamentales les plus fines en faisant l’amour.


 Ces énergies divines, d’une beauté extraordinaire, sont intenses et raffinées. Lorsqu’elles sont laissées inexploitées chez la femme, comme elles le sont aujourd’hui, elles dégénèrent en perturbations psychiques ou émotionnelles, et elles se cristallisent finalement en anormalités physiques. La matrice donne naissance à toutes choses.

Le malheur fondamental de l’homme sa perpétuelle agitation, est dû au fait qu’en oubliant comment faire l’amour, il a abandonné son autorité divine naturelle et perdu le contrôle sexuel de lui –même.

 Sa dégénérescence émotionnelle ou psychique se manifeste par l’obsession sexuelle. 
Tous les hommes sans exception, sont obsédés sexuellement. Cela signifie des fantasmes sexuels compulsifs, la pratique chronique de la masturbation (même en vivant avec une partenaire), le refoulement sexuel menant à la colère et à la violence, ainsi que les symptômes universels que sont la course à la richesse et le fait de se perdre dans le travail.

 Le développement des affaires et la course à la richesse compensent le fait d’être un amant incompétent et couvrent (chez les deux sexes) l’incapacité ou la peur d’aimer.

Parce qu’il a négligé la femme – l’homme souffre d’éjaculation précoce, de culpabilités, d’angoisse, de doute sur lui-même, d’impuissance, d’atrophie sexuelle, qu’il masque sous la forme d’un désintérêt sexuel, d’une abstinence sexuel due au refoulement de sa peur de l’échec, de bravade sexuelle et de manque de sagesse véritable. 

Voilà ce qu’il inflige à la femme, aggravant ainsi son mécontentement fondamental à elle, et sa propre agitation à lui.

Pour intégrer entièrement le principe masculin, un homme doit assimiler dans son corps les divines énergies féminines que la femme peut lui délivrer seulement en faisant l’amour physiquement de façon juste.
 Mais l’homme doit être suffisamment homme. 

Il doit être capable d’aimer suffisamment la femme ; cela signifie l’aimer divinement et d’une manière désintéressée durant l’acte d’amour véritable. 

Il doit être capable d’absorber et d’exprimer suffisamment d’amour avec son propre corps pour atteindre la partie la plus élevée de la femme, et d’aimer suffisamment pour extraire les énergies divines de son centre à elle, le plus profond.

 Etre capable d’aimer de cette façon représente l’autorité que l’homme a perdue – sa seule vrai autorité sur la femme.

L’homme a échoué à servir l’amour et à servir physiquement la femme, laquelle est l’amour personnifié.
 Le prix à payer pour l’homme est l’émotionnalité tyrannique de la femme.
 Qu’il l’aime ou essaie d’aimer, elle lui assénera un jour un choc, l’étourdira, le ravagera subitement en se révélant telle une diablesse, le démon féminin vivant de l’émotion.
La diablesse se montre quand il est attaché et qu’il ne peut s’en aller. Un homme qui n’a pas encore expérimenté la haine de cette diablesse n’a pas encore expérimenté l’amour. Une femme qui ne s’est pas encore vue diablesse n’ pas encore contacté son amour.

Pour  l’homme le démon de l’émotion chez la femme est l’enfer sur terre.

 C’est la partie d’elle qu’il ne peut pas diriger ou comprendre. Le démon de son propre échec à aimer prend vie pour le mépriser, abuser de lui et le tourmenter. Il en est terrifié. 

Il bluffe et poursuit sa route en fanfaronnant. Mais finalement parce qu’il s’est laissé vieillir au sein de cette relation et qu’il a abandonné pour avoir un peu la paix, la diablesse va le vaincre et le forcer à déposer les derniers vestiges de sa virilité et de son autorité.

Ils vieillissent alors ensemble dans un sentiment de sécurité, mais à demi - morts, car se sera en s’appuyant l’un sur l’autre dans le monde horrible du compromis."

Je ne sais pas ce que cela vous a fait mais moi, cette lecture ne me laisse pas indifférente, elle m'amène à me poser beaucoup de questions.
j'ignore si Barry Long est dans la Vérité avec un grand "V" ou bien dans sa Vérité à lui mais cela me remue à chaque fois!!
 Ce livre a fortement et continue d'influencer le choix de mes partenaires et de ma sexualité!
Vos échanges et partages seront les bienvenues.